La philosophie de Shumei
« La gratitude suscite la gratitude, le mécontentement suscite le mécontentement. »
– Meishusama
Shumei, une organisation spirituelle, favorise la santé, le bonheur et l’harmonie pour tous en appliquant la sagesse et les intuitions du leader spirituel, Mokichi Okada, que les membres appellent « Meishusama ».
Meishusama enseignait qu’un monde sans maladie, pauvreté et discorde est à la portée de tous grâce au Jyorei, à la pratique de l’agriculture naturelle et à la promotion de l’art et de la beauté.
L’approche globale de Shumei à la spiritualité est compatible avec toute religion fondée sur le bien-être universel. Les membres et les amis de Shumei viennent d’horizons divers, et la plupart continuent à approfondir leurs pratiques et croyances spirituelles même après nous avoir rejoints.
About the Founder
« La maladie m’a offert le privilège de devenir un étudiant de Dieu. »
– Meishusama
Né à Tokyo, au Japon en 1882, Meishusama connut une enfance marquée par la pauvreté et la maladie. À 37 ans, Meishusama commença à s’interroger sur le sens de la vie et rejoignit Oomoto, un groupe religieux apparenté au shintoïsme. Des évènements miraculeux se succédèrent alors. En 1934, il fonda sa propre organisation, la Société japonaise de Kannon. Il pensait que Kannon, la déesse de la compassion, lui en avait donné l’autorisation et le guidait.
Meishusama continua à développer sa méthode de guérison spirituelle qu’il finit par appeler Jyorei, ce qui signifie « purification de l’esprit ». Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Meishusama concentra ses efforts sur la création des principaux sanctuaires de l’organisation. Il sentait que le pouvoir de la beauté pouvait transformer la société. Analysant les raisons de son bonheur, il déclara qu’il naissait de la « volonté de rendre tout le monde serein, heureux et chanceux ». La puissance de la compassion de Meishusama et de sa gratitude transforma la vie de nombreuses personnes et sema les graines de l’amélioration du monde.
La vie physique de Meishusama prit fin en 1955, à l’âge de 72 ans.